<< On ne peut créer l'amour >>
La vie est morne et simple à la fois pour Tess, qui vit dans un futur assez rapproché où le gouvernement, confronté à l’extinction de l’humanité, va de l’avant avec la création des Élus, des êtres artificiels qui sont extraordinairement beaux, incroyablement forts et imperturbablement mortels. C’est alors qu’elle commence à travailler à Templeton, un centre d’entraînement pour les Élus, que Tess fait la connaissance de James. Ils sont aussitôt attirés intensément l’un vers l’autre, et cette attirance est terriblement dangereuse. Tess sera également exposée à plus de choses qu’elle ne s’attendait à Templeton. Pourra-t-elle tenir tête à ses oppresseurs, même si cela devait lui faire renoncer à la seule joie que la vie lui apporte?
Editions AdA. 400 pages.
<< L’uniforme était comme une deuxième peau. >>
Adorant la dystopie, j'étais à la recherche de nouveaux romans pas très connus à découvrir. Je suis tombée par hasard sur celui-ci et son résumé m'a plutôt bien tenté. J'ai bien apprécié ma lecture mais finalement, c'est du déjà vu. C'est de plus en plus compliqué de trouver une dystopie original, qui sort du lot. Néanmoins, je l'ai quand même bien aimé et me suis rapidement laissée embarquer dans l'histoire.
C'est l'histoire de Tess, une naturelle, qui vit dans un monde où les naturels ne sont plus très nombreux. Ils sont dirigés par les Elus, des êtres artificiels créés pour être parfaits, bien meilleurs que les naturels. Tess a de plus en plus de mal à vivre ainsi. D'autant plus qu'elle découvre des choses qu'elle n'était pas forcément censée voir. Et puis, elle est de plus en plus attirée par James, un artificiel, mais elle sait que cette relation est interdite.
J'ai bien aimé Tess même si parfois, elle agit vraiment sans réfléchir. Mais justement, c'est une fille qui agit, qui ne se contente pas d'être passive et de laisser les autres diriger sa vie. J'ai un peu moins aimé James qui est trop "lisse". En fait, j'ai parfois un peu eu l'impression qu'il n'avait pas de caractère. Quant à leur relation, je l'ai bien aimé, elle était intéressante à suivre mais prenait parfois un peu trop de place, délaissant tout le reste.
J'ai bien aimé l'aspect dystopique de cet roman avec les naturels et les artificiels, leurs différences, etc... Cela amène les personnages (et donc le lecteur) à se poser des questions comme est-ce que les naturels valent mieux, est-ce qu'ils sont considérés comme vraiment humains, la valeur de la vie, le droit de vivre, etc. J'ai beaucoup aimé cette idée !
En revanche, il manque un quelque chose à ce livre. J'ai un peu eu l'impression que l'histoire ne décollait jamais. On attend quelque chose qui ne se produit jamais vraiment. La fin en revanche est plein d'action mais justement, l'action arrive un peu tard. Par contre, elle m'a quand même donné très envie de lire le second tome.
Pour conclure, Les êtres artificiels a quelques défauts assez importants mais l'idée de départ est très intéressante. Je m'attendais peut-être à un peu mieux mais je suis quand même satisfaite de ma lecture dans l'ensemble.
C'est l'histoire de Tess, une naturelle, qui vit dans un monde où les naturels ne sont plus très nombreux. Ils sont dirigés par les Elus, des êtres artificiels créés pour être parfaits, bien meilleurs que les naturels. Tess a de plus en plus de mal à vivre ainsi. D'autant plus qu'elle découvre des choses qu'elle n'était pas forcément censée voir. Et puis, elle est de plus en plus attirée par James, un artificiel, mais elle sait que cette relation est interdite.
J'ai bien aimé Tess même si parfois, elle agit vraiment sans réfléchir. Mais justement, c'est une fille qui agit, qui ne se contente pas d'être passive et de laisser les autres diriger sa vie. J'ai un peu moins aimé James qui est trop "lisse". En fait, j'ai parfois un peu eu l'impression qu'il n'avait pas de caractère. Quant à leur relation, je l'ai bien aimé, elle était intéressante à suivre mais prenait parfois un peu trop de place, délaissant tout le reste.
J'ai bien aimé l'aspect dystopique de cet roman avec les naturels et les artificiels, leurs différences, etc... Cela amène les personnages (et donc le lecteur) à se poser des questions comme est-ce que les naturels valent mieux, est-ce qu'ils sont considérés comme vraiment humains, la valeur de la vie, le droit de vivre, etc. J'ai beaucoup aimé cette idée !
En revanche, il manque un quelque chose à ce livre. J'ai un peu eu l'impression que l'histoire ne décollait jamais. On attend quelque chose qui ne se produit jamais vraiment. La fin en revanche est plein d'action mais justement, l'action arrive un peu tard. Par contre, elle m'a quand même donné très envie de lire le second tome.
Pour conclure, Les êtres artificiels a quelques défauts assez importants mais l'idée de départ est très intéressante. Je m'attendais peut-être à un peu mieux mais je suis quand même satisfaite de ma lecture dans l'ensemble.
<< Je voulais en savoir plus à propos des élus. La marque sur mon cou ressemblait à la dernière phrase d’une histoire que personne ne se donnait la peine de lire. Je n’étais pas l’auteure de ma propre histoire, et personne ne se souciait de sa fin. >>
Je ne le connaissais pas du tout ce livre. Tout à fait d'accord avec toi concernant les dystopies, moi qui adore ce genre, je commence à me lasser de retrouver sans arrêt les mêmes schémas...
RépondreSupprimerSi tu aimes les dystopies originales je te conseille Cosplay de Laurent Ladouari, (pas connu du tout mais qui vaut quand même le détour, en plus c'est un auteur français :p) pour ma part j'en ai fait une overdose donc je me limite à quelques uns dans l'année et encore lol en tout cas malgré ses défauts, contente qu'il t'ait plu dans l'ensemble ^^
RépondreSupprimerJe n'en ai jamais entendu parler mais je vais me renseigner du coup, merci !
SupprimerJe trouve la couverture vraiment très belle mais je ne pense pas que ce soit suffisant pour que je me lance dans cette lecture :(.
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